Que buvez-vous ?

Isabelle Harson

1/13/2023

Votre robinet ne déverse pas que de l’eau...

L’eau du réseau a beau être certifiée potable, sa qualité́ reste préoccupante : hormones, médicaments, nitrates... La liste des polluants ne cesse de s’allonger.

Deux chiffres pour vous mettre l’eau à la bouche : chacune de nos cellules contient 22 milliards de molécules d’eau ! Et nous sommes composés à plus de 60 % d’eau, répartie dans le sang, la lymphe, les sucs digestifs, l’urine, le mi- lieu extra- ou intracellulaire. Sans ces liquides, aucun échange métabolique n’est possible. Et notre santé dépend pour beaucoup de la qualité́ de notre hydratation corporelle. D’où̀ l’importance d’apporter à nos cellules une eau parfaitement biocompatible !

Mais les travaux de Marc Henry nous emmènent plus loin encore. Ce scientifique pionnier de la physique quantique appliquée à l’eau, avance qu’en réalité, nous serions composés de 96 à 97 % d’eau si nous incluons le « quatrième état de l’eau », l’eau morphogénique .

D’après Marc Henry, l’eau a bien un quatrième état, morphogénique : « sa caractéristique est d’être apte à adopter une forme gélifiée, intermédiaire entre l’état liquide et l’état solide au contact de colloïdes minéraux ou organiques. » Dans notre corps, cette phase aqueuse se forme en plusieurs couches de molécules d’eau autour de toute matière à la dimension nanométrique.

Pas une seule protéine ou brin d’ADN qui ne soit entouré́ par de minces feuillets d’H2O. Ce quatrième état de l’eau pourrait bien donner à l’eau le pouvoir extraordinaire de modeler la matière, grâce à l’information subtile qu’elle contient et communique sur un plan quantique.

Mais revenons aux instances sanitaires et normes de potabilité.

Une cinquantaine de contaminants et paramètres physico-chimiques sont définis par la règlementation : pH, pathogènes (bactéries fécales), produits toxiques comme les pesticides, nitrates, plomb, nickel, cuivre, arsenic, solvants chlorés, etc. Ces informations sont communiquées aux usagers, sans beaucoup de détails, et sont aussi disponibles sur les sites gouvernementaux. Mais peut-on vraiment leur faire confiance ?

L’étude de 2019-2020 de l’UFC- Que Choisir se veut rassurante : la qualité de l’eau du robinet des communes de France métropolitaine s’améliore nettement. Mais tout n’est pas clair comme de l’eau de roche pour autant !

Pesticides : pas tous égaux face aux contrôles

Près d’un million de consommateurs, essentiellement en zone rurale, reçoivent une eau non conforme : 450 000 consommateurs boivent une eau qui dépasse les normes maximales en pesticides et 148 000 une eau contaminée par les nitrates. Quant aux contaminations bactériennes, elles touchent encore 80 000 consommateurs essentiellement en zones de montagne et en zones rurales de l’Est.

Les travaux de l’UFC-Que Choisir et de Générations Futures, qui ont associé leurs expertises, montre que l’on ne recherche en moyenne que 200 résidus de pesticides alors qu’il en existe plus de 750.

Ainsi, un relevé annuel d’analyse fournie par l’organisme distributeur peut apparaître faussement rassurant avec la mention « la présence de pesticides n’a pas été détectée dans l’eau distribuée ». Et pour cause, certains n’ont tout simplement pas été recherchés...

Début 2013, l’association 60 millions de Consommateurs découvrait déjà la présence de tamoxifène, un médicament hormonal utilisé pour traiter le cancer du sein, ainsi que d’autres médicaments et pesticides dans l’eau de Vittel, Volvic, Hépar, Salvetat, Mont-Roucous, Cristaline, Cora, St-Yorre, etc. Un préjudice dramatique pour ces marques auréolées de pureté́, et une désillusion pour le consommateur qui ne sait plus à quelle source s’abreuver. Ce type de pollution est celui des « substances émergentes ».

Bientôt des résidus de la vaccination de masse au robinet ?

L’eau n’oublie pas !

Au-delà̀ des critères de contrôle et de filtration des polluants, nous devrions prendre en compte une autre propriété de l’eau, bien connue des homéopathes : la mémoire. N’en déplaise à la doxa scientifique, réductionniste et mécanistes, qui crie au charlatanisme, des chercheurs reconnus l’attestent et le démontrent : « L’eau est un récepteur », résume Marc Henry.

Vous trouverez des heures de conférences et de formations avec Marc Henry, librement accessibles, sur Internet. Ces informations vous persuaderont, entre autres, qu’un verre d’eau du robinet n’a rien à voir avec un verre d’eau de Lourdes !

La mémoire de l’eau nous amène à une question fondamentale : une solution hautement diluée, porteuse de « l’information » d’un virus ou d’une molécule chimique, peut-elle s’avérer pathogène tout comme la solution initiale polluée ? Une étude de 2009 sur le RoundUp, le désherbant de Bayer (anciennement Monsanto), l’affirme. De très hautes dilutions de cette substance pouvaient tuer les cellules humaines comme les mauvaises herbes !

Au robinet, nous sommes en présence d’une eau polluée et déstructurée sur le plan énergétique.

Par principe de précaution, c’est à nous de prendre en charge les dernières étapes de filtration, puis de redynamiser notre eau de boisson pour bénéficier d’une hydratation biologiquement saine.

De nombreux fabricants surfent sur la vague de la filtration de l’eau, nous proposant de magnifiques systèmes, parfois très complexes, bien souvent efficaces, mais surtout onéreux. L’eau étant un cadeau du ciel, on aimerait trouver des installations simples sans grever son budget.

Une eau biocompatible doit être :

· Saine sur le plan bactériologique

· Pure sur le plan chimique

· Équilibrée sur le plan minéral

· Et vivante sur le plan énergétique et structurel.

Une bonne filtration bactériologique et chimique

C’est la première étape nécessaire pour se débarrasser de ce qui est passé entre les mailles du réseau de distribution : pesticides, métaux lourds, résidus de médicaments, bactéries et virus. Si votre eau provient du robinet.

Quelle est la minéralité́ idéale ?

Pour clore le débat, faisons confiance aux travaux scientifiques de Marc Henry sur lesquels s’appuient d’ailleurs beaucoup de naturopathes.

Une eau trop minéralisée n’est pas bonne non plus !

« Toute reminéralisation ne doit pas dépasser dans l’idéal les 50 ppm, soit 50 mg/L en résidu total à sec (mention obligatoire sur toutes les bouteilles d’eau) ; au-delà̀ de 100 mg/L, les reins fatiguent et la fonction d’élimination des déchets par l’eau est amoindrie. »

Pensez à vérifier sur l’étiquette le taux de résidus secs, car il n’est pas toujours très stable. Idéalement, la minéralité d’une eau devrait se situer entre 50 et 100 mg/L de résidus à sec.

Solutions pour reminéraliser votre eau :

Par l’eau de mer Quinton (iso- tonique ou hypertonique au choix, plus ou moins 10 ml/L) – tous les minéraux et oligoéléments dont nous avons besoin s’y trouvent.

Comment revitaliser votre eau :

C’est la dernière étape indispensable pour que l’eau filtrée apporte une « information santé ». Elle s’effectue généralement juste avant de consommer l’eau.

La création d’un vortex, un geste facile et efficace.

L’idée est de recréer un vortex qui va oxygéner l’eau et la restructurer. Nous savons, depuis les travaux de Viktor Schauberger, de Richardson et de Kolmogorov, que le vortex est le moyen qu’a trouvé́ la nature pour se protéger contre tout excès d’énergie qui pourrait remettre en cause l’intégrité́ d’une structure matérielle.

Le vortex est donc bien un formidable moyen pour informer l’eau, ce qui explique son omniprésence dans les systèmes de dynamisation de l’eau, explique Marc Henry.

Il est facile de créer un vortex en touillant plusieurs fois et ferme- ment l’eau dans son récipient. Préférez les grands formats (carafe large de 3 ou 4 litres), répétez l’opération plusieurs fois. Cette eau restera dynamisée plusieurs heures.

On reconnait une eau dynamisée par sa texture en bouche, quasi visqueuse, onctueuse, plus hydratante.

Masaru Emoto propose de son côté le bouchon Devajal. Il permet de coupler deux bouteilles standards pour pouvoir les retourner plusieurs fois de suite. L’eau de la bouteille supérieure s’écoule dans la bouteille inférieure en formant un joli vortex. C’est aussi beau qu’efficace, et surtout, c’est un investissement de quelques euros seulement.