L'argent colloïdal, un antibiotique naturel de taille !

Isabelle Harson

11/15/2024

Vous pourriez sans doute être sceptique ! Alors lisez ce qui suit.

Simple suspension de particules d'argent microscopiques dans de l'eau ultra pure, l'argent colloïdal a été utilisé́ par les médecins de manière intensive pendant près d'un demi-siècle jusqu'au début des années quarante et est tombé dans les oubliettes de l'histoire après l'invention des antibiotiques de synthèse.

Il fait, depuis quelque temps déjà, un retour en force remarqué.

Son action "magique" s'accompagne de solides preuves scientifiques, si bien que des médecins ont pu déclarer :

« L'argent est notre meilleure arme contre les microbes ». Dr Harry Margraf, (Washington University, St Louis)

« L'argent tue même les souches résistantes aux antibiotiques et stimule la cicatrisation de la peau ». Dr Robert Becker, (Syracuse University, New York)

L’argent Colloïdal est capable de :

· Tuer la plupart des microbes

· Accélérer la cicatrisation des blessures et des brûlures

· Soigner la peau et les allergies

· Stimuler les défenses naturelles de l’organisme

· Purifier l’eau

L'argent colloïdal est incontestablement un succès en matière de produits de santé. Pourquoi ?

Tout simplement pour ses propriétés étonnantes :

Il élimine un très grand nombre de bactéries pathogènes, y compris des souches résistantes aux antibiotiques, ainsi que bon nombre de virus et de parasites.

Il n'engendre apparemment pas de souches résistantes.

Préparé́ et administré correctement, il ne présente aucune toxicité́ et ne produit aucun effet secondaire.

Alors de quoi s'agit-il exactement ?

Simplement de particules d'argent en suspension ou dissoutes dans de l'eau distillée. Mais ce ne sont pas des particules tout à fait ordinaires, puisque dans les meilleurs produits actuels, elles "atteignent" des tailles inférieures au nanomètre, c'est-à-dire au millionième de millimètre ! Des particules de cette taille ultramicroscopique sont capables de pénétrer à l'intérieur des cellules et d'y détruire les virus qui s'y trouvent cachés.

Le succès foudroyant remporté initialement par les antibiotiques avaient laissé́ croire que les maladies infectieuses allaient à jamais disparaitre de la surface de la terre. Mais avec l'apparition de souches résistantes puis la généralisation progressive de ce phénomène, il a fallu finalement déchanter.

Leur prescription abusive (par exemple pour des affections virales sur lesquelles ils n'ont aucun effet), leur mauvais emploi (traitement trop court ou trop prolongé), la présence de traces d'antibiotiques dans la chaine alimentaire, tout ceci a contribué́ à l'apparition de souches microbiennes capables de résister aux antibiotiques. De plus, les effets secondaires des antibiotiques affaiblissent le système immunitaire et créent souvent de nouveaux problèmes, comme les myco-infections (Candida albicans).

Selon un rapport de l'American Pharmaceutical Association :

L'apparition de bactéries résistantes aux médicaments se multiplie de façon alarmante.

Par exemple, le Centre pour le Contrôle et la Prévention des Maladies estime qu'au cours des cinq années écoulées, le taux de résistance du streptocoque pneumonique à la pénicilline s'est accru de plus de 300 %.

Parallèlement à l'augmentation des souches de bactéries résistantes aux médicaments, on a constaté́ une augmentation de la mortalité́ et de la morbidité́ dues aux maladies infectieuses.

Considérer les antibiotiques comme des ''ressources précieuses et limitées'' est un changement d'attitude qui s'impose si l'on veut préserver leur efficacité́.

L'utilisation courante des antibiotiques chez les animaux a récemment été́ mise en cause, du fait qu'une telle utilisation semble bien favoriser la résistance aux antibiotiques chez l'homme et pose donc un risque pour sa santé.

On a constaté́ que les organismes résistants peuvent se transmettre des animaux aux humains par contact direct et par l'intermédiaire de produits alimentaires d'origine animale.

Les hôpitaux sont devenus un environnement fertile pour les pathogènes résistants aux médicaments.

Le contact rapproché des malades et l'usage intensif des antimicrobiens obligent les pathogènes à devenir résistants.
La résistance microbienne s'est manifestée dès l'introduction de la pénicilline voici près de cinquante ans, avec l'apparition rapide d'infections causées par le staphylocoque doré. Aujourd'hui, les hôpitaux du monde entier se trouvent confrontés à une crise due à l'apparition et à la dissémination rapide d'autres microbes résistants à un ou plusieurs agents microbiens.

Ajoutez à cela l'apparition soudaine de virus inconnus et la menace d'un "terrorisme bactériologique", je dresse le tableau !

Heureusement, le hasard faisant parfois bien les choses, certains chercheurs ont été́ amenés plus ou moins fortuitement à redécouvrir l'argent colloïdal jeté́ aux oubliettes dans les années quarante.

Cependant, à l'heure actuelle, la médecine orthodoxe ignore à peu près tout de son existence ; les laboratoires pharmaceutiques ne s'y intéressent pas (vu qu'il ne peut être breveté́) et le perçoivent même comme un dangereux concurrent susceptible de menacer directement leurs intérêts financiers. En effet, si par une étonnante ironie du sort, l'argent colloïdal devait un jour supplanter les antibiotiques, cela priverait les grandes entreprises pharmaceutiques d'une source de revenus considérable.

Si la lutte contre les microbes et l'infection constitue la fonction principale de l'argent colloïdal, celui-ci a encore bien d'autres cordes à son arc.

Voici une liste partielle de ce qu'il peut accomplir :

  • Grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives, il soulage immédiatement brûlures, ulcères, allergies, piqûres d'insectes, dermatites, hémorroïdes, etc.

  • Il accélère la cicatrisation des brûlures et des blessures.

  • Il peut être incorporé dans la structure de pansements extrêmement efficaces.

  • Il favorise la régénération osseuse et tissulaire.

  • Il stimule le système immunitaire.

  • Il contribue à la purification de l'eau et de l'air.

  • Il peut être utilisé comme désinfectant des eaux usées et des piscines.

  • Il peut être utilisé sur les plantes et les animaux.

Les propriétés germicides du métal argent sont connues depuis l'Antiquité́. Grecs, Perses et Romains utilisaient des récipients en argent pour transporter et stocker divers liquides (eau, vin, vinaigre...) destinés aux souverains, aux nobles et aux privilégiés. Ces liquides conservaient ainsi leur fraîcheur plus longtemps que dans d'autres récipients. Il semble qu'ingérer ainsi régulièrement de minuscules particules d'argent contribuait à renforcer l'immunité́ vis-à-vis de certaines maladies.

Des études ont révélé́ que les réseaux internes de distribution d'eau dans les hôpitaux étaient les principaux responsables de la maladie du légionnaire (une espèce de pneumonie) acquise à l'hôpital. Aux USA, la plupart des grands hôpitaux ont installé́ des systèmes d'ionisation argent/cuivre qui ont permis d'éradiquer L. pneumophilia de leurs réseaux d'eau chaude.

Au Japon, l'argent est utilisé́ dans plusieurs technologies de purification de l'air et dans les lieux de travail ; il participe à la lutte contre les toxines de l'air et autres poisons industriels.

Comme on l'a déjà̀ mentionné, l'argent va donc être relégué́ aux oubliettes pendant "l'âge d'or" des antibiotiques (1940-1965). Ces nouveaux médicaments semblaient accomplir des miracles, coûtaient beaucoup moins cher et étaient d'un emploi plus facile que les produits à base d'argent ; et puis ils commençaient à rapporter d'énormes bénéfices à leurs fabricants.

Au cours des années 1978-1985, Robert O. Becker un chirurgien orthopédiste américain, et ses associés entreprirent des recherches sur l'utilisation des ions d'argent en thérapie orthopédique.

Les capacités de l'argent allaient encore bien au-delà̀ de cette action germicide. Les travaux du Dr Becker ont montré́ que l'argent permettait aux os fracturés ou écrasés de se régénérer plus rapidement et plus complètement qu'avec tous les autres traitements utilisés jusqu'ici. Il apparut que l'argent stimulait aussi la régénération des tissus tout en empêchant les plaies de s'infecter.

Le Dr Gary Smith, quant à lui, qui fait des recherches sur le cancer, dit que d'une manière générale la réussite d'un traitement anticancéreux dépend de l'argent présent dans l'organisme et que son échec est la conséquence d'un manque d'argent : « Quand l'argent est présent, les cellules cancéreuses se dédifférencient et l'organisme se rétablit. Quand le taux d'argent est nul, le cancer continue de se développer parce que les cellules ne peuvent pas se dédifférencier. Je soupçonne qu'une carence en argent pourrait être l'une des raisons principales de l'existence du cancer et de la vitesse à laquelle il se répand. »

L’argent colloïdale est bénéfique dans =

· Les infections bactériennes (cystite, maladie de Lyme) et les affections champignons (candida)

· Aseptise les muqueuses (maux de gorge, angine, pharyngites, otites…)

· Problèmes gastriques (ulcères, acidité)

· Calme les problèmes de peau (mycoses, eczéma, psoriasis, urticaire, rougeurs, démangeaisons, acné, muguet…)

· Gargarismes : aphtes, mauvaise halène

· Compresses : plaies, piqûres d’insectes, brûlures, morsures…)

Pour les yeux : Accompagne =

· Les infections

· Conjonctives virale ou bactérienne

· Conjonctivite du nouveau-né

· Kératite

· Orgelet

· Chalazion

· Blépharite.

Se faire accompagner d’un thérapeute avec des connaissances en oligo-éléments pour un conseil et la posologie.

Pour aller plus loin, je vous invite à lire le livre de Jean Patrick Bonnardel (pharmacien) qui a écrit "L'argent Colloïdal, Alternative naturelle aux antibiotiques". Vous pouvez le télécharger en cliquant sur le bouton en dessous.

L'argent colloïdal, un antibiotique naturel de taille !